La dette technique, frein à l’innovation

La pandémie a considérablement accéléré la digitalisation des entreprises. Pour être rapidement compétitives dans ce contexte, elles ont favorisé des solutions avec une mise en œuvre dans les meilleurs délais au détriment de choix de conception et de technologies pensés sur le long-terme. Ces choix ont fortement accentué leur dette technique, quels que soient les secteurs d’activité.

La majeure partie des entreprises privilégie la mise sur le marché rapide et retarde le traitement de la dette technique. Elles continuent de faire cohabiter des nouvelles solutions avec des systèmes anciens et rendent le système de plus en plus complexe à maintenir.

Selon l’étude « The Growing Threat of Technical Debt » réalisée par OutSystems, seules 20 % des entreprises interrogées affirment qu’elles gèrent bien la dette technique à l’heure actuelle. Pourtant, les tendances mettent en exergue que les entreprises axées sur la croissance doivent prioriser les enjeux de demain plutôt qu’actuels. Toujours selon cette même étude, 69 % des leaders IT identifient la dette technique comme le frein majeur à l’innovation dans leur entreprise.

Les causes de la dette technique sont multiples :

  • un trop grand nombre de langages de développement et de cadres (52 %)
  • la rotation au sein de l’équipe de développement (49 %)
  • l’acceptation de défauts connus pour respecter les délais de publication (43 %). 

Les entreprises consacrent 41 % de leur budget informatique à la dette technique. Le problème ne fait que s’aggraver !

Les choix des systèmes doivent désormais reposer sur des enjeux sur le long-terme et ne pas freiner leur capacité à innover.

Ripple Motion privilégie des techniques et des technologies évolutives en mesure d’accompagner les évolutions stratégiques.

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